LE DELUGE DE NOE
Le soleil brûle son propre lit Versant la lave sur ses blessures. La mer se traîne sur le bord Après une bouche d'air; La terre suicidée Disparaît sous les vagues. La vie s'étouffe tant depuis l'éternité Dans le soleil qui reste taché d'un bateau à voiles. |
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