IMAGES DE MA MEMOIRE

Le ciel nu me crée des images blanches. Ma personne intense m`ne sa Lumiére dans le second Univers en se renvoyant l'oeuvre créée à travers moi, le prét conçu.

Ma bien-aimée, il y a mille ans

Je l'ai reconnue, j'ai reconnu ton regard
Qui m'a sauvé tant et tant la vie
Moi, ce fragment-là d'univers
Les plantes dont les molécules dégringolaient
Pareillement aux pierres, l'une derriére l'autre
Horizontalement.
Moi ce fragment-là d'univers
Le cerveau dont les cellules regardaient
L'une sur l'autre
Verticalement.

Je l'ai reconnue, j'ai reconnu tes mots
Qui ont tant et tant essayé de me prouver
Que je suis la Pyramide avec laquelle tu touches ton front,
La Pyramide dont le grand soutien est le sommet.

Ma bien-aimée, il y a mille ans
Quel dommage de notre amour,
Amour avec lequel nous avons arraché nos coeurs en les regardant vides
En les collant l'un à l'autre comme dans un baiser.
Quel dommage de notre amour
Qui attaignait la perfection.
Jusqu'à ce que notre regard humain
A-t-on oublié de se porter vers les coeurs
Evadés dans un secret des mondes.

Mille ans se sont écoulés, jusqu'à ce que,
En mettant ses pieds sur les feuilles tombées pour l'étérnité de quelqu'un
En exilant ma démarche et les instants
Sur des marches de terre et de non terre.
Jadis j'ai écarté une feuille
Et j'ai découvert mon coeur qui gisait là
Inconsolable et inerte,
Lève-toi mon coeur, j'ai dit
Lève-toi mon coeur et dessine dans le ciel le temps de ma recherche.
Le temps passé depuis la perfection proche de l'amour
Quand je baisait le coeur de ma bien-aimée, Jusqu'à présent.

Je t'ai reconnue ma bien-aimée,
La fille dont le coeur s'enfuit maintenant dans son corps,
Tout près de moi viens
Enfuyons-nous dans l'abysse qui est devant nous,
L'abysse de ton opinion sur moi,
L'abysse de mon opinion sur toi,
En nous racontant les instants de recherches
Quand courant riches de la nuit du matin
Nous regardions au regard d'enfant su sommeil
Si paisible créé par des secondes d'univers

La seconde de L'Univers Enfant
quand vide sans coeur
je regardais mon Ego

Ecoute j'ai découvert mon Ego non loin de moi
Mais tout près, ici dans cet Univers
Que j'ai nommé L'Univers Enfant,
En garde mon Ego et ceux des autres
Si naturalisés que leur Lumière,
S'accumulait loin, très loin
Dans un Univers lointain,
Le second: L'Univers Mirroir.
Quel Soi est celui-ci? Ai-je dit,
Et comment fait-il pur sentir s'il n'a pas même des fragments
Qui puissent vibrer en se touchant l'un l'autre.
Ainsi j'ai partag´ mon Ego en plusieurs morceaux
Conscientisées de chacun d'eux,
Sous cette seul, unique couverture-là
Personnalisée si fort et si douloureusement de moi,
Ainsi il a fallu que je parte loin vers l'Univers Miroir
A la recherche de l'image de mon Ego.

La Seconde de l'univers Miroir
quand vide sans coeur j'ai découvert
la non profondeur de mon âge

Ecoute ma bien-aimée
Là l'oeuvre de mon Soi
Là la Lumière de mon Ego
Aurait dû éterniser son image,
De m&me que de nombreuses, de nombreuses Lumières, de sorte que je puisse la voir,
Mais je l'ai cherchée tant et je l'ai vue nulle part.
Tu ne purras rien voir de ce que tu beux, j'ai entendu
Parce que le coeur et la profondeur de l'âme te manquaient.
Cependent plonge ton âme dans la Mer illimitée
Là où il y avait des gens, des pères et des enfants,
Là où il y avait just une rangée de sapins
Et tant de croix,
Là où les êtres flânaient vers le Coucher des Soleils
Des icônes dans leurs mains,
Tout cela ayant un monde comme distance
Là et uniquement là tu peux attendre la Mer Illimitée
En te noyant comme une rive

Si paisible créé par des secondes d'Univers
En offrant la profondeur de ton àme.

La Seconde de l'attente


La Seconde de l'attente
quand vide sans coeur
la mer devait m'offrir
la profondeur de l'âme

Le père et son âme se trouvaient devant une prison
En un repos sans mots,
Devant eux il y avait une rangée de sapins et les sapins n'éraient pas
            
Hauts Et devant les sapins il y avait des croix nombreuses et blanches.
Devant les croix c'était moi
Debout pour raccourcir la distance
Entre mon esprit et le ciel.

Derrière moi des gens couraient vers des Couchers des Soleils
Avec des icônes représentant des ombres des divinités disparues,
Et des oiseaux voltigeaient près de mes épaules
Près des épaules des croix et des sapins
Près des épaules de tous les êtres et non êtres,
En même temps,
Dessinant sur la terre des cris intermittents.

Ainsi séparés des mondes de ce que je voyais
Et cependant si près de tout
J'attendais la mer se diriger vers nous.
Et la Mer Illimitée venait s'approchait
En ouvrant son rivage tout près de tout
J'attendais la mer se diriger vers nous.
Et la Mer Illimitée venait s'approchait
En ouvrant son rivage tour près, dépliée en milliers de vagues
Inondait mon cerveau et mes cils, mes plantes et ma poitrine
Mes yeux ouverts, mes doigts dispersés
Mon âme s'approfondissait de plus en plus
Jusqu'aux genoux, jusqu'aux épaules, jusqu'au front
Et plus haut et plus haut.

Ma bien-aimée, d'il y a mille ans (fin)


Ainsi j'ai porté mon temps à travers des univers différents
Finalement j'ai découvert mon Ego
Et alors j'ai cherché son image personnalisée
Loin dans le miroir d'un autre univers
Puis la profondeur de mon âme et mon coeur égaré.

Ainsi ma bien-aimée d'il y a mille ans
Si toi aussi tu as reçu tout cela
Et sans que nous nouis rappelions l'errance passée
Nous pourrions nous aimer.

Ronald GASPARIC

"This is how I am and how I bring my soul and body wherever GOD wants.

I am waiting a simple response, from you my love, to confirm that I exist
And if this is not going to happen is not going to happen because of me."

RONALD GASPARIC
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